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9 janvier 2007 2 09 /01 /janvier /2007 11:08

Dr LOVE

Les problèmes sexuels que vous pouvez régler, seul

- l'éjaculation prématurée ;

- les difficultés d'érection (non organiques) ;

- les difficultés d'éjaculation (non organiques) ;

- le problème d'érection associé à une éjaculation prématurée ;


- l'absence ou le manque de désir (chez l'homme) ;

- l'absence ou le manque de plaisir (chez l'homme) ;

- les rapports sexuels moins fréquents ;

L'éjaculation prématurée, appelée à tort "éjaculation précoce"

Elle concerne 70% des hommes.

Lorsque l'éjaculation survient moins de 10 à 15 minutes après la pénétration, cette éjaculation est dite "prématurée", même si, au cours de ce rapport, l'éjaculation suivante est nettement plus longue à venir.

L'éjaculation prématurée ne permet, ni à la femme, ni à l'homme, de parvenir véritablement au plaisir sexuel ; le plus souvent, les caresses clitoridiennes, prodiguées avant ou après le coït, tentent de "compenser" la frustration de la partenaire.

Pratiquement aucune femme ne peut parvenir à l'orgasme, dans des conditions satisfaisantes, lorsque son compagnon souffre d'éjaculation prématurée.

En outre, une éjaculation prématurée que l’on ne règle pas risque de se dégrader et d'engendrer, à terme, des difficultés d’érection puis, progressivement une diminution -voire une absence- de désir.

Pour en savoir plus sur l'éjaculation prématurée...

Les difficultés d'érection (ou dysfonctions érectiles)

10 à 15% des hommes en souffrent.

On parle de dysfonction érectile lorsque l’érection est insuffisante pour permettre véritablement la pénétration ou bien lorsque cette érection manque de fermeté à un moment quelconque du rapport sexuel : l’érection peut alors tomber définitivement, à moins qu’elle ne revienne, avec des "hauts" et des "bas"...

Les problèmes d’érection sont parfois consécutifs à une éjaculation prématurée que l’on n’a pas réglée en son temps, souvent par négligence ou en croyant qu’elle pourrait se résoudre spontanément.

Certains problèmes d’érection ont parfois une origine organique (malformation, accident, maladie...) mais ils ne représentent qu'un très faible pourcentage de toutes les dysfonctions érectiles : ces problèmes spécifiques n'entrent pas dans le cadre de la sexo-rééducation. En cas de doute, il vous appartient de vérifier l'origine organique ou non du problème que vous rencontrez, auprès d'un praticien qualifié.

La plus grande majorité des problèmes d'érection sont donc la conséquence d'une dégradation progressive ou bien d’un blocage : premiers rapports catastrophiques, période d’abstinence, déception amoureuse, expérience sexuelle négative, manque de confiance en soi, séparation, etc.

Enfin, on parle également de dysfonction érectile, lorsque l'on rencontre des difficultés pour retrouver une érection correcte, à la suite d'une première éjaculation. Selon le cas, le problème est traité sous l'angle des difficultés d'érection ou bien sous celui de l'éjaculation prématurée ou encore, des problèmes associés.

Pour en savoir plus sur les difficultés d'érection...

Les difficultés d'éjaculation

Chez certains hommes, l'éjaculation ne se produit pas du tout (anéjaculation), ou bien péniblement, après des temps extrêmement longs, comme si l'excitation semblait insuffisante pour la déclencher, alors qu'il n'existe strictement aucun problème organique, ni atteinte physique ou autre.

Souvent, les partenaires mettent fin au rapport sexuel, par lassitude, soit que l'homme se trouve dans l'impossibilité de "conclure", alors que son érection est toujours correcte, soit que cette érection finisse malgré tout par tomber... Il arrive enfin que l'éjaculation se produise "verge molle", sans réel plaisir.

Selon le cas et les circonstances, le problème est davantage apparenté aux dysfonctions érectiles, quand bien même, cette érection serait très correcte .

Dans ce dernier cas, tout se passe comme si le mécanisme de l'érection était bloqué en position favorable (rigidité), mais ne transmettait pas véritablement le plaisir qu'elle devrait susciter en semblables circonstances.

Les problèmes associés

Comme leur nom l'indique, ils associent à la fois des difficultés d'érection à une éjaculation prématurée.

Au départ, l'homme rencontre des difficultés d’érection et lorsqu'enfin, tant bien que mal, l'érection semble se raffermir, l'éjaculation survient très rapidement... que ce soit, avant, pendant ou juste après la pénétration.

Ce problème doit être envisagé comme une variante de l'éjaculation prématurée et des dysfonctions érectiles, en fonction de différents critères analysés au cours du Questionnaire initial : antécédents éventuels, problème principal qui se manifeste chez la personne, proportion d'un problème, par rapportà l'autre, etc.

L'absence ou le manque de désir

- soit, c'est la conséquence logique des problèmes sexuels évoqués ci-dessus : dans ce cas, il s'agit d'un phénomène inconscient de protection, qui a pour but d'éviter une trop grande frustration des partenaires (plus les rapports sont décevants et moins il y a d'envies ou de désirs sexuels) ; en réglant vos problèmes d'érection ou d'éjaculation, le désir reviendra tout naturellement.

- soit ce sont les premiers signes annonciateurs de ces mêmes problèmes latents (problèmes d'érection, d'éjaculation ou associés) : le processus de dégradation est en marche, peut-être serait-il temps d'y prêter attention afin d'y porter reméde ?...

L'absence ou le manque de plaisir

Tout comme l'absence de désir, l'absence ou le manque de plaisir traduit également, la plupart du temps, des difficultés sexuelles sous-jacentes ou bien des problèmes sexuels qui se profilent.

Le fait de régler ces difficultés sexuelles vous permettra de retrouver (ou de découvrir) le plaisir sexuel, dans la mesure où le plaisir est nécessairement associé au bien-être et à l'absence d'inquiétude concernant vos "performances"...

Les rapports sexuels moins fréquents

Lorsque les rapports sexuels sont satisfaisants, les partenaires sont bien évidemment motivés pour les renouveler : la logique veut aussi que chacun de nous cherche à éviter les situations qui risquent d'être désagréables, tant pour soi que pour l'autre.

Une éjaculation qui survient trop tôt, une érection qui a du mal à tenir ou qui risque de tomber sans prévenir sont des situations pénibles que tout homme est tenté d'éviter : celui qui sait pertinemment qu'il est souvent confronté à ce genre de problème, aura tendance à fuir la situation anxiogène, en évitant le plus possible (volontairement ou non) les rapports sexuels... quand bien même, cela induirait encore d'autres types de frustrations

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